Merci Colombe pour ce joli billet qui me touche. Je crois que ce courage que j'admire chez toi, c'est précisément d'accepter l'idée de te perdre pour mieux te retrouver. Ce matin après t'avoir lue j'ai écouté Eddy de Pretto une fois, puis deux ( Larme fatale), beaucoup d'élégance et d'émotion dans ses chansons comme dans ton écriture. Me suis ensuite arrêtée dans ma petite boulangerie bio préférée pour y acheter des canistrelli pour une amie et savourer un vrai café. La journée commence bien , @ bientôt sur nos lignes ou peut-être à Marseille !
Merci ma Odile 💙 J'aime tant avoir de tes nouvelles et que tu me racontes un petit bout de ton quotidien. En parlant de boulangerie, je me suis moi-même arrêtée hier dans une de mes boulangeries préférées à Nantes. Ils font un pain qu'ils appellent " Pain des Marins " (très noir et avec des fruits). C'est ma Madeleine de Proust. Je te souhaite une merveilleuse fin de semaine. Hâte de te revoir. Je t'embrasse et pense bien à toi 😘
Pas facile de ne pas travailler quand, en France, on se définit tellement par rapport au travail. S'arrêter, c'est effectivement se retrouver face au vide, face à soi-même, c'est courageux. Il est plus facile de s'oublier et de ne pas écouter ses angoisses en enchainant les réunions et en courant après le temps ! Merci pour cette lettre.
Merci Florence pour ton retour qui me touche et que je partage à 💯%. Pour avoir habité dans d'autres pays, tu as raison de dire qu'en France, malheureusement, les gens se définissent presque exclusivement par rapport à leur travail. C'est en train d'évoluer, ouf ! J'ai beau avoir exercé des métiers qui m'ont toujours passionné, je suis beaucoup plus que mon travail. Je te souhaite une très belle journée.
Merci Colombe pour ce joli billet qui me touche. Je crois que ce courage que j'admire chez toi, c'est précisément d'accepter l'idée de te perdre pour mieux te retrouver. Ce matin après t'avoir lue j'ai écouté Eddy de Pretto une fois, puis deux ( Larme fatale), beaucoup d'élégance et d'émotion dans ses chansons comme dans ton écriture. Me suis ensuite arrêtée dans ma petite boulangerie bio préférée pour y acheter des canistrelli pour une amie et savourer un vrai café. La journée commence bien , @ bientôt sur nos lignes ou peut-être à Marseille !
Merci ma Odile 💙 J'aime tant avoir de tes nouvelles et que tu me racontes un petit bout de ton quotidien. En parlant de boulangerie, je me suis moi-même arrêtée hier dans une de mes boulangeries préférées à Nantes. Ils font un pain qu'ils appellent " Pain des Marins " (très noir et avec des fruits). C'est ma Madeleine de Proust. Je te souhaite une merveilleuse fin de semaine. Hâte de te revoir. Je t'embrasse et pense bien à toi 😘
Si puissante cette newsletter Colombe, j’avais envie de réécrire chacune de tes phrases 💛
“ Tout est en désordre. Les cheveux. Le lit. Les mots. La vie. Le coeur “.
C’est effectivement souvent au pied du mur qu’on est obligé d’oser sauter dans l’inconnu. Pour le meilleur 💛
Merci ma douce Marine pour ton retour qui me va droit au cœur 💙 J'aime tellement cette citation de Jack Kerouac. Je t'embrasse fort 😚
Pas facile de ne pas travailler quand, en France, on se définit tellement par rapport au travail. S'arrêter, c'est effectivement se retrouver face au vide, face à soi-même, c'est courageux. Il est plus facile de s'oublier et de ne pas écouter ses angoisses en enchainant les réunions et en courant après le temps ! Merci pour cette lettre.
Merci Florence pour ton retour qui me touche et que je partage à 💯%. Pour avoir habité dans d'autres pays, tu as raison de dire qu'en France, malheureusement, les gens se définissent presque exclusivement par rapport à leur travail. C'est en train d'évoluer, ouf ! J'ai beau avoir exercé des métiers qui m'ont toujours passionné, je suis beaucoup plus que mon travail. Je te souhaite une très belle journée.