Mes chères lectrices, Mes chers lecteurs,
Peut-être que certains(e) d’entre vous avez remarqué que votre boite aux lettres était restée vide hier. J’ai en effet failli à ma promesse de vous écrire. En ce moment beaucoup de choses m’encombrent. Des choses pas forcément négatives, bien au contraire, mais je sens que ma charge mentale est élevée.
Hier soir, j’ai battu en retraite. Je me suis dit que ce n’était pas grave de ne pas vous écrire, pour une fois. Que j’écrive ou que je n’écrive pas, cela ne changerait pas la sphère du monde et encore moins votre vie. Ce que je pense profondément du reste. Mais, une personne que j’aime beaucoup m’a fait remarquer qu’en lançant cette newsletter, il y a plus d’un mois, je m’étais fait une promesse, celle de vous écrire, peu importe ce qui se passe dans ma vie. Il est vrai que si j’ai appelé cette newsletter : “ Les Promesses du cœur “, c’est justement pour essayer de tisser un lien avec chacun(e) d’entre vous, en vous racontant les soubresauts de ma vie et en espérant très fort que mes mots trouvent un écho en vous.
Revenons à nos moutons. Coté cœur, je vais mieux. Je me reconstruis, mais j’évolue toujours dans un épais brouillard. Je ne me sens pas encore prête à rencontrer quelqu’un et en même temps, j’en ai furieusement envie. J’ai envie de connaître à nouveau ce sentiment grisant de la rencontre. Je crois que je serai vraiment prête le jour où je ne regarderai plus du tout dans le rétroviseur et que ma relation passée se conjuguera justement au passé.
Si on ne se connaît pas, écrivez-moi. Dites-moi qui vous êtes. J’ai envie de vous connaître.
Je vous souhaite une très belle fin de semaine.
A jeudi prochain.
Affectueusement,
Colombe
PS : merci à mon confident en écriture et mon frère amical (qui se reconnaîtra) pour ses encouragements et sa présence.