Mes chères lectrices, Mes chers lecteurs,
Je ne vous ai pas écrit hier, car je n’étais pas dans une forme olympique. Je ne voulais pas vous laisser sans nouvelles. D’ou ce billet du vendredi et non du jeudi !
Cette semaine aura été une semaine étrange placée sous le signe des premiers maux de la PMA. Je ne suis pas encore enceinte et pourtant, les symptômes sont déjà là : fatigue, tension dans les seins, maux de tête et j’ai gardé le meilleur pour la fin (wait for it ) : une envie de gerber à chaque odeur de croissant chaud ou d’effluve de café. Ce qui est un comble pour une amatrice de café comme moi !
Ceci étant dit, je viens de confirmer ma présence pour m’exprimer au micro de Marine, la créatrice du podcast « En crise » que j’ai découvert en janvier dernier et que j’aime beaucoup. Marine m’a proposé de me confier à son micro pour parler de la relation impossible que j’aie avec l’homme dont je vous parle depuis des mois et qui était/est mon amoureux. Présent ou imparfait, c’est encore un peu flou. Cela ne devrait pas le rester.
Je suis très heureuse de pouvoir raconter mon histoire et de montrer qu’une séparation qui ne dit pas son nom, aussi douloureuse soit-elle, n’est pas la fin de tout, mais avec le temps, le début d’autre chose. J’ai envie de transmettre de jolies choses et peut-être me réconcilier avec cette part de moi-même qui reste encore attachée non pas à l’amour, mais à l’idée de l’amour.
L’homme dont je suis tombée très amoureuse a déserté, il n’est plus là et ce depuis longtemps. J’ai beau le savoir, j’ai espéré qu’il en soit autrement. A trop vouloir, je me suis brûlée les ailes et sans le vouloir, j’ai probablement fait peser sur lui, une responsabilité beaucoup trop grande pour ses frêles épaules. A chaque épreuve, on apprend.
Bref, dans quelque temps, vous pourrez à nouveau entendre ma voix.
Ah si, j’allais oublier, merci pour vos messages de la semaine dernière et notamment à Amélie (elle se reconnaîtra) dont le message m’a infiniment touché.
N’hésitez pas à m’écrire en MP ou à commenter mes billets, j’aime tant vous lire. Si j’ai lancé cette newsletter, il y a 1 an, c’est avant tout pour créer du lien. C’est pour que l’expression de mes joies, mes doutes, mes fêlures, mes galères vous donnent envie de vous assumer tels que vous êtes. Et qui vous êtes, ce que vous vivez m’intéresse !
Je vous souhaite une merveilleuse fin de semaine et vous laisse sur cette chanson que j’aime vraiment beaucoup :
Affectueusement,
Colombe