Mes chères lectrices, Mes chers lecteurs,
D’ici quelques heures, je prendrai l’avion direction Marseille pour être au coté de mon associée pour un truc de boulot important pour nous et notre petite entreprise. Vous raconter le pourquoi du comment serait trop long et en plus, ce matin, mon cerveau est dans la brume, pour ne pas dire givré. Et oui, à Nantes, le froid est arrivé sans crier gare.
Ceci étant dit, je viens de commencer la lecture d’un livre sur les blessures d’attachement recommandé par la formidable thérapeute qui me suit en ce moment pour m’aider à remettre de la clarté et de la lumière dans mes relations amoureuses. Le livre en question s’intitule : « Guérir des blessures d’attachement » et a été écrit par Gwenaëlle Persiaux, psychologue clinicienne et psycho-thérapeute.
Je n’en suis qu’au début, mais ce que je peux vous dire, c’est que c’est déjà hyper intéressant. Je n’avais jamais réfléchi à cette notion d’attachement avant. Je n’avais même jamais regardé mes relations amoureuses à la lumière de mon style d’attachement. Et pourtant, il y a tant à comprendre et à apprendre !
Décider de travailler sur soi et sur ses brûlures n’est pas de tout repos. Mais, au regard de ce que j’ai vécu ces derniers mois, j’ai l’intime conviction que c’était la meilleure chose à faire.
Depuis que je vous ai dit que je consultais quelqu’un, c’est fou comme certains d’entre vous, vous confiez davantage à moi et me parlez de vos blessures et de l’importance qu’a eu à un moment donné de votre vie, un ou une praticienne.
Un peu comme l’ostéo, chacun(e) d’entre vous semblez ne jurer que par son ou sa thérapeute. Je dois avouer que ça m’amuse beaucoup. De grâce, continuez de m’écrire. Nos échanges me réjouissent.
Bonne nouvelle, depuis une semaine, le brouillard dans lequel j’étais plongé tend à se dissiper. S’il y a bien quelque chose que j’ai appris ces dernières semaines, c’est qu’on on a le droit de vouloir le meilleur pour soi. En Amour comme ailleurs, on a pas à se contenter des miettes ou du minimum. Et, le meilleur pour soi n’est pas toujours le meilleur pour les autres, pour l’Autre en l’occurence. C’est ainsi. La personne empathique que je suis a encore du mal avec ce concept. Mais, ça commence à venir.
L’amour, j’y crois à nouveau. En fait, même au plus bas, je crois que j’y ai toujours cru et je sais que j’y ai le droit. Aujourd’hui, je dois juste laisser les choses suivre leur cours. Eckart parle d’action par l’inaction. Ça me parait bien comme programme. Qu’en pensez-vous ?
Je vous souhaite une merveilleuse journée, en musique bien évidemment.
Affectueusement,
Colombe