Mes chères lectrices, Mes chers lecteurs,
Cette semaine, j’ai reçu de l’amour à la pelle. J’ai notamment reçu 3 superbes témoignages de participants que j’ai accompagnés dans leur envie de changement de job, des mots doux de mon amoureux, une demande de partenariat en écriture qui m’a infiniment touché.
En ce moment, j’ai le sentiment de marcher sur l’eau. Tout n’est pas rose, mais ma positive attitude est à son apogée. J’ai le sentiment que la roue est enfin en train de tourner et que je suis en train de récolter les fruits de mon investissement et de mon engagement.
La vie est surprenante. N’est-ce pas ? Il y a 9 mois (timing étrange s’il en est), le sol s’ouvrait sous mes pieds. Je quittais un homme que j’aimais, j’adorais mon job, mais je m’interrogeais sur sa viabilité. Mon désir de maternité naissait et je me retrouvais seule.
Complètement à coté de mes baskets, je décidais de ralentir et d’avoir confiance en ma bonne étoile.
Ma vie a toujours pris un tournant intéressant dans les moments les plus critiques. Je crois que je suis assez douée pour gérer les crises. C’est pas moi qui le dit, c’est un ami qui m’en a fait prendre conscience.
Ces derniers temps, j’ai réalisé que pour avoir la vie dont j’ai vraiment envie (grande flexibilité et liberté dans mon job, équilibre vie pro/vie perso, liberté de mouvement, devenir maman), il fallait que j’accepte de me cogner encore un peu.
Lacan a dit : « Le réel, c’est quand on se cogne ». Cette citation m’a fait sourire, car une de mes devises est : « In reality, I trust ».
Si en ce moment, votre réalité ne vous plait pas, dites-vous bien qu’il n’appartient qu’à vous de la changer. Acceptez de vous cogner un peu ou beaucoup pour aller mieux !
Je ne saurais finir ce billet sans vous remercier de votre fidélité et de votre affection. Vous êtes mon premier public, mon principal soutien épistolaire. Sans vos retours et nos échanges, mon projet redevient un journal intime de mes sentiments. Or, depuis le lancement de cette newsletter, mon intention est de créer une conversation à durée illimitée entre vous et moi.
N’hésitez donc pas à écrire, à m’envoyer une note vocale, que sais-je ! Je veux vous lire, vous entendre, mieux vous connaître. Je veux plus de nous et pas seulement de moi.
Au plaisir de nous retrouver jeudi prochain. D’ici là, je vous laisse sur cette bombe de chanson :
Affectueusement,
Colombe